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La loi française interdit à un amateur de réaliser son propre propulseur. Les fusées expérimentales utilisent des propulseurs professionnels fournis par le CNES. Ils permettent d'envoyer une expérience pesant de 1 à 15 kg à une altitude variant entre 500 et 5000 m et à une vitesse pouvant être supérieure à celle du son. (Notre fusée MipMip a passé Mach 1.3!) |
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Pendant le vol, les données issues des divers capteurs constituant l'expérience sont généralement émises par radio de la fusée vers le sol. Les données sont également stockée sur une eprom à l'intérieur de la fusée. |
La fusée et son contenu sont récupérés après le vol. Pour cela, elle est munie d'un système de récupération (souvent un parachute) déclenché à culmination.
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Mais ça ne marche pas toujours, on parle alors de vol
balistique.
Cliquez sur la photo pour la voir en grand, avant et après! |
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Chaque année, le secteur espace de l'ANSTJ, l'association des clubs aérospatiaux français, organise une campagne où sont lancées les fusex qui répondent aux critères précédemment cités. Chaque point est contrôlé et un propulseur est attribué à la fusée. Pour cette occasion le CNES met à disposition des clubs ses moyens de lancement. Les industriels du secteur viennent y informer le public et exposer leurs activités, une visite est aussi organisée chaque année pour les VIP. Ouvert au public (plus de 1500 visiteurs en 2000) et très médiatisé le Festival 2001 sera Européen. Le CLC se doit d’y être en tant que vitrine de prestige des compétences de l’École Centrale de Lyon et de nos sponsors (l’espace a toujours été très médiatique). |
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